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Calendrier Général des Examens et Concours Scolaires au titre de la session 2014 est fixé selon le tableau suivant:
Examens et Concours Scolaires | Examen du CEPE et Concours d'Entrée en Sixième | BEPC | Test d'Orientation en Seconde | Baccalauréat |
Inscriptions | Du 14/10/2013 au 13/12/2013 | Du 14/10/2013 au 13/12/2013 | Du 14/10/2013 au 13/12/2013 | Du 14/10/2013 au 13/12/2013 |
Paiement des droits d'examen | Du 21/10/2013 au 20/12/1013 | Du 21/10/2013 au 20/12/1013 | Du 21/10/2013 au 20/12/1013 | Du 21/10/2013 au 20/12/1013 |
Epreuves Physiques et Sportives |
Mardi 11 mars 2014 1er examen blanc Mardi 06 mai 2014 2ème examen blanc |
Du 15/04/2014 au 26/04/2014 | Du 29/04/2014 au 10/05/2014 | |
Epreuves orales et pratiques | Du mardi 03 juin 2014 au vendredi 06 juin 2014 |
Bac Technique : du 17/06/2014 au 27/06/2014 Bac Artistique : du 23/06/2014 au 27/06/2014 Bac Général : du 24/06/2014 au 27/06/2014 |
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Epreuves écrites | Mardi 27 mai 2014 | Du 10/06/2014 au 12/06/2014 | Du 10/06/2014 au 12/06/2014 | Du Mar. 1er/07/2014 au jeu. 04/07/2014 |
Proclamation des résultats | Lundi 09 juin 2014 à 14h00 | Lundi 30juin 2014 à14h00 | Lundi 30 juin 2014 à 14h00 | Mardi 22 juillet 2014 à 14h00 |
Délibération des jurys spéciaux de réclamation | Mercredi 18 juin 2014 à 9h | Samedi 05 juillet 2014 à 9h | Samedi 05 juillet 2014 à 9h | Dimanche 27 juillet 2014 à 9h |
Proclamation résultats des jurys spéciaux de réclamation | Jeudi 19 juin 2014 à 9h | Lundi 07 juillet 2014 à 9h | Lundi 07 juillet 2014 à 9h | Lundi 28 juillet 2014 à 9h |
Remise des documents à la DOB | Ven. 20 au mardi 24 juin 2014 | Mardi 08 au jeu. 10 juillet 2014 | Mardi 08 au jeu. 10 juillet 2014 | |
Remise des documents à la DECO par les Présidents de jurys | Lundi 23 au lundi 30 juin 2014 | Mardi 08 au vendredi 11 juillet 2014 | Lundi 07 au vendredi 11 juillet 2014 | Lundi 04 au vendredi 08 aout 2014 |
source: education.gouv.ci
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Division Ingenieurs Statisticiens Economistes (ISE)
ISE option Mathematique
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ISE Concours option Economie
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Date du concours: Avril 2014
Fin des inscriptions: Janvier 2014
Division Ingenieurs des Travaux Statistiques (ITS)
ITS option Mathematique
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ITS option Economie
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Date du concours: Avril 2014
Fin des inscriptions: Janvier 2014
Division Adjoints techniques de la Statistique
Concours direct
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Concours professionel
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Date du concours: Avril 2014
Fin des inscriptions: Mars 2014
Renseignements complementaires: site de l'ENSEA
Retrouvez les anciens sujets et corrections de l'ENSEA sur fomesoutra.com
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Un peuple n’a d’avenir que s’il sait entretenir et transmettre le meilleur de sa mémoire collective. Au moment où Nelson Mandela prend une place de choix dans le panthéon des dignes fils et filles d’Afrique, il y a lieu de se demander comment perpétuer et transmettre son exemple de génération en génération. Parmi ses plus grands ancêtres l’Afrique a désormais Mandela dont le récit de vie devrait devenir pour tout Africain la « bible » du combat pour la liberté et la dignité humaine. Son combat était certes circonscrit au contexte sud-africain, mais les leçons à en tirer ont une portée universelle. A cet effet, il convient de faire un plaidoyer à l’échelle continentale pour que l’autobiographie de Mandela, Un Long Chemin Vers La Liberté, soit inscrite au programme scolaire de chaque pays africain. Chaque Africain devrait lire ce récit au moins une fois dans sa vie, et pas seulement pour se distraire. Pourquoi ?
Premièrement, c’est le monde entier qui, presque à l’unanimité, rend hommage à ce digne fils d’Afrique. Pour une fois dans l’histoire récente, l’Afrique a fait la une des médias dans le monde non pas à cause de la pauvreté, du SIDA ou des guerres fratricides, mais bien à cause de l’un de ses fils dont presque le monde entier salue l’humanisme. De ce point de vue Mandela est un saint du peuple africain, pour la simple raison qu’un saint n’est pas celui dont la vie n’a pas connu d’ombres ; une telle créature humaine n’existe pas sur la terre des hommes et des femmes. Mais un saint c’est quelqu’un qu’une communauté dresse comme modèle pour les générations présentes et à venir parce que la lumière de sa vie à tellement brillé qu’elle a éclipsé ses ombres, parce qu’il a incarné de manière singulière ses valeurs. Et c’est le cas de Nelson Mandela. En effet, dans le ciel assombri de l’Afrique, l’étoile de Nelson Mandela brille de manière singulière et il convient que l’Afrique prenne toutes les dispositions pour que cette étoile en engendre d’autres.
Deuxièmement, l’Afrique connait une telle crise de modèles et de leadership que pour une fois qu’on en a à l’échelle continentale, voire mondiale, il faut les canoniser et les momifier pour les générations futures. Il est souvent reproché aux Africains, et avec raison, de négliger leur mémoire collective, et c’est peut-être à cause de cette amnésie collective que qu’elle répète si souvent les mêmes erreurs et peine à sortir du cercle vicieux de l’indignité collective. Les jeunes ont besoin de modèles car les exemples inspirent mieux que les beaux discours et les belles pages. Au-delà du flot d’allocutions, de larmes, d’émotions qui alimentent des hommages bien mérités par ce défenseur irréductible de la liberté et de la dignité humaine, le meilleur hommage que l’Afrique peut rendre à Nelson Mandela qui incarne singulièrement sa dignité est de perpétuer sa mémoire de génération en génération.
Troisièmement, le récit autobiographique de Mandela est pratiquement un traité de résistance à l’injustice et à l’oppression qui met en exergue les exigences d’un vrai combat pour la liberté. C’est la relecture d’un chemin parcouru qui peut inspirer d’autres combats et semer dans l’âme des plus jeunes la semence de la résistance. On y apprend qu’on ne nait pas résistant, on le devient en s’engageant concrètement pour une cause et en prenant les risques. On y apprend que le combat pour la liberté n’est pas une aventure solitaire mais nécessite des synergies voire un certain sens de la solidarité. On y apprend qu’un vrai héros de la liberté doit être prêt à faire d’énormes sacrifices et à se laisser entièrement dévorer par son rêve pour que la lutte soit féconde. Cette dimension du sacrifice, de l’abnégation, de l’oubli de soi pour les autres est commune à tous les combattants qui ont marqué l’histoire de l’humanité. Mandela, comme beaucoup de ses compagnons de lutte, a sacrifié sa carrière, sa famille, sa liberté, etc. pour que le combat contre l’apartheid porte enfin du fruit. On y apprend en outre que le combat pour la liberté est un long chemin parsemé d’embûches qui demande de la patience et du courage. Il s’inscrit dans la durée et se transmet de génération en génération. Il faut toujours être prêt à mourir sans voir la réalisation complète de son rêve mais avec la confiance que d’autres prendront la relève, d’où l’importance de la dynamique collective. On y apprend surtout que l’amour est plus fort que la vengeance, qu’on peut mettre ses blessures au service de la réconciliation et de la guérison de tout un peuple. Les souffrances et sacrifices de Mandela et de ses compagnons de lutte sont devenus une source de réconciliation pour le peuple sud-africain et une source d’espérance pour toute l’Afrique. En privilégiant la paix à la violence, le pardon et la réconciliation à la vengeance, l’amour à la haine, Mandela et autres ont fait triompher les forces de la vie là où menaçaient de régner les celles de la mort.
Quatrièmement ce que Mandela a fait pour l’Afrique du Sud, chacun doit essayer de le faire partout où la dignité humaine est menacée. Maintenant que le Baobab est tombé, vivement que tout autour émergent de jeunes pousses incarnant son esprit pour poursuivre le combat. Mais cela n’arrivera pas magiquement. Il faut faire boire les jeunes générations africaines aux sources de l’espérance, il convient que chacun lise au moins une fois dans sa vie l’autobiographie de Nelson Mandela. Pour les y encourager de manière formelle, il convient de l’inscrire aux programmes scolaires et former des enseignants pour guider les jeunes dans la lecture de ce récit à vivre comme un parcours initiatique. Il faut ensuite les encourager à s’engager concrètement pour l’une ou l’autre cause qui donne un sens à la vie humaine. Si nous ne le faisons pas, la mémoire de Mandela tombera d’ici peu dans l’oubli et bien évidemment le cercle vicieux de l’indignité collective continuera.
Cinquièmement le combat pour la dignité de tout homme et toute femme en Afrique est loin d’être terminé. La mort de Mandela a coïncidé ironiquement avec la tenue d’un autre sommet France-Afrique où, après plus de cinquante ans d’indépendance, des chefs d’Etats africains sont allés comme des gamins se faire sermonner par la France sur la nécessité pour eux de prendre en main leur sécurité. Ils devraient avoir honte de prononcer le nom de Mandela. L’évocation de Mandela à ce sommet constitue un véritable blasphème, une véritable profanation, car ce théâtre ne lui ressemble pas. Après l’intervention française au Mali, c’est aujourd’hui le tour de la République centrafricaine.
Quelles irresponsabilité et déchéance collectives ! Quel déficit de leadership continental ! A quand la fin de cette théâtralisation de l’indignité ? Nous ne briserons ce cercle vicieux qu’en créant des conditions favorables à l’émergence d’autres Mandela. S’il ne renait qu’un seul par pays et par siècle l’Afrique fera de grands pas vers la dignité.
La vie et l’œuvre de Mandela nous montrent donc le chemin de la liberté, un long et difficile chemin que chaque peuple doit s’organiser pour parcourir en puisant dans sa mémoire collective et en se laissant guider par ses fils et filles les plus inspirées, prêts à s’oublier pour donner la vie aux autres. Comme le dit un versé biblique, « En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit » (Jn 12, 24). Il revient aux gouvernants africains de faciliter l’inscription de l’autobiographie de Mandela au programme scolaire de chaque pays africain pour favoriser la naissance d’une nouvelle génération de résistants. Un plaidoyer devrait être initié à cet effet à l’échelle continentale. Mais en attendant, chaque parent peut tout au moins prendre la responsabilité d’acquérir une copie de cette « bible » du combat africain pour sa famille et ses enfants. N’est-ce pas le meilleur hommage que l’Afrique peut rentre à Mandela ?
P. Ludovic Lado, jésuite
Abidjan, Côte d’Ivoire
source: africapresse.com
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Le rachat à l'examen du Brevet d'Etudes du Premier Cycle peut s'effectuer dans les conditions suivantes
1- Candidat officiel Candidat non dispensé d'EPS
- Avoir obtenu à l'évaluation finale un Total P1 supérieur ou égal à 126 points sur 280;
- Avoir obtenu un total pondéré P supérieur ou égal à 126 points et inférieur à 140 sur 280;
- Avoir la moyenne à l'écrit dans l'une des quatre matières d'orientation (Composition Française, Anglais écrit,Mathématiques, Sciences Physiques);
- Avoir une Moyenne Générale Annuelle (MGA) supérieure ou égale à 10/20 dans le livret scolaire réglementaire.
2- Candidat dispensé d'EPS Avoir obtenu à l'évaluation finale un total P1 supérieur ou égal à 117 points sur 260
- Avoir obtenu un Total Pondéré P supérieur ou égal à 117 points et inférieur à 130 points et inférieur à 130 points sur 260;
- Avoir la moyenne à l'écrit dans l'une des quatre matières d'orientation (Composition Française, Anglais écrit,Mathématiques, Sciences Physiques).
- Avoir une Moyenne Générale Annuelle (MGA) supérieure ou égale à 10/20 dans le livret scolaire réglementaire.
3- Candidat libre Candidat non dispensé d'épreuves d'EPS
- Avoir obtenu à l'évaluation finale un Total P1 supérieur ou égal à 126 points et inférieur à 140 points sur 280;
- Avoir la moyenne à l'écrit dans deux des quatre matières d'orientation (Composition Française, Anglais écrit,Mathématiques, Sciences Physiques).
4- Candidat libre Candidat dispensé d'épreuves d'EPS
- Avoir obtenu à l'évaluation finale un Total P1 supérieur ou égal à 117 points et inférieur à 130 points sur 260;
- Avoir la moyenne à l'écrit dans deux des quatre matières de l'orientation (Composition Française, Anglais écrit,Mathématiques, Sciences Physiques).
source: men-deco.org
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Quelles sont les meilleures écoles de commerce européennes ? C’est pour répondre à cette question que le Financial Times publie, chaque année, le palmarès des meilleures Business Schools en Europe.
Quelle méthodologie est utilisée ?
Le classement ne prend en compte que les écoles accréditées EQUIS et AACSB. Lequel se base sur différents critères et notamment le rang occupé par ces écoles dans les autres classements FT 2013 (MBA, Executive MBA et masters en management). Le salaire obtenu après 3 ans de carrière par les diplômés est également pris en compte, ainsi que le pourcentage de femmes, de professeurs étrangers et de doctorants au sein du corps professoral.
Top 20
Classement 2013 | Classement 2012 | Ecole | Pays |
1 | 2 | HEC Paris | France |
1 | 1 | IE Business School | Espagne |
3 | 3 | London Business School | Royaume-Uni |
3 | 5 | Esade Business School | Espagne |
5 | 4 | Insead | France |
6 | 6 | Iese Business School | Espagne |
7 | 7 | University of St Gallen | Suisse |
8 | 11 | SDA Bocconi | Italie |
9 | 7 | IMD | Suisse |
10 | 9 | Rotterdam School of Management, Erasmus University | Pays-Bas |
11 | 10 | ESCP Europe | France, Italie, Espagne, Allemagne, Royaume-Unis |
12 | 12 | University of Oxford : Saïd | Royaume-Unis |
13 | 15 | EM Lyon Business School | France |
14 | 19 | Essec Business School | France |
15 | 14 | Vlerick Business School | Belgique |
16 | 18 | Imperial College Business School | Royaume-Unis |
17 | 25 | Edhec Business School | France |
18 | 16 | City University: Cass | Royaume-Unis |
19 | 16 | Cranfield School of Management | Royaume-Unis |
20 | 26 | Tilburg University, TiasNimbas | Pays-Bas |
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1 | Achat de la pochette (DMOSS) et visite médicale à l’école de police; (07/10 - 21/12/2013) |
2 | Demande d’authentification administrative du BAC sur le site web de la DECO; (16/10/2013 - 08/01/2014) |
3 | Dépôt de la demande d’authentification administrative du BAC dans un Bureau de POSTE CI (aucune demande n’est reçue à la DECO); |
4 | Etablissement des autres pièces constitutives du dossier de candidature (extrait de naissance, casier judiciaire, certificat de nationalité, copie CNI, 5 photos de même tirage); |
5 | Retrait de l’attestation de visite médicale à l’école de police ; (04/11/2013 - 04/01/2014) |
6 | Paiement des droits d’inscription (Quittance) dans la Trésorerie de la DECO, les agences BNI ou la Banque du Trésor; (16/10/2013 - 24/01/2014) |
7 | Accès à la fiche d'inscription grâce à votre numéro d'authentification administrative figurant sur le reçu qui vous a été remis à la poste et votre date de naissance.); |
8 | Inscription en ligne et impression des différentes fiches sur le site de la DECO (s’inscrire dans une seule DRENET/DDENET); |
9 | Dépôt du dossier complet (sans l’attestation authentifiée) à la DRENET/DDENET d’inscription pour signature; (16/10/2013 - 27/01/2014) |
10 |
Consultation de la liste des candidats admis à concourir sur le site de la DECO et dans la DRENET/DDENET d’inscription au moment opportun. |
source: men-deco.org
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Les nouveaux étudiants peuvent s'inscrire du 05 décembre 2013 au 31 janvier 2014
Les anciens étudiants pourront s'inscrire pendant la periode du jeudi 05 décembre 2013 au samedi 15 février 2014.
Les etudiants peuvent faire leur inscription sur le site: http://inscription.etudiants.edu.ci
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Le mois de juin est la période des examens scolaires : brevet, BAC, CAP, BEP… Que vous passiez un examen officiel ou non, il est temps de s’y préparer.
Très bientôt l’année scolaire prendra fin, plusieurs élèves et étudiants se préparent aux examens de fin d’année. Des examens que tous aimeraient réussir afin de bien conclure l’année. En tant que parents, vous devez accompagner votre enfant dans la planification de ses révisions, de faire le point et de discuter de ses doutes. Devenez son coach sans pour autant intervenir à bout de champ, il faut le laisser à son rythme et surtout lui faire confiance.
Découvrez les points importants pour faciliter ce passage obligatoire.
Etablir un planning
Il faut d’abord établir un planning. La journée doit être divisée en plusieurs périodes de travail. Il faut commencer tôt : les performances intellectuelles sont maximales. Proposez-lui de faire une pause pour prendre un encas et de continuer les révisions jusqu’à midi. Après le déjeuner, il est préférable de ne reprendre le travail qu’à partir de 15 ou 16 heures car avant, l’organisme est dans sa phase de paresse. C’est vers la fin de la journée qu’il peut retrouver toute son énergie. Le soir, il doit s’arrêter vers 22 heures.
Gérer le stress
Le stress peut devenir son pire ennemi. Pour réussir les examens, il y a des règles simples et efficaces à suivre. En premier lieu, il est conseillé de ne pas réviser au dernier moment. S’il a respecté son plan de travail, il pourra se détendre la veille de l’examen. Cela lui permettra de bien dormir sans ressasser inutilement les derniers éléments à retenir. Il peut en revanche relire une dernière fois le plan de ses cours. Attention, méfiez-vous des stimulants et autres produits dopants, ils permettent d’augmenter l’efficacité de travail en période de révision mais peuvent mener au surmenage le jour des examens.
Profiter des moments de détente
Lorsqu’il met en place son programme de révision, incitez-le à y marquer des moments de détente. En effet, c’est plus motivant de réviser tout en sachant qu’après on pourra se détendre. Faire du sport, écouter de la bonne musique, regarder un film intéressant… Ne croyez pas que ce sera du temps perdu. Au contraire, il rendra ce travail plus efficacement et diminuera le stress et les tensions qu’il accumule au fur et à mesure que la date butoire approche. L’objectif lors des révisions n’est pas de faire le plus d’heures possibles dans la journée mais de trouver des créneaux propices à la concentration.
Bien s’alimenter
En période de révisions et d’épreuves, il ne faut zapper aucun repas. Les besoins énergétiques sont importants et s’ils ne sont pas assurés, l’organisme est moins performant. Le cerveau a notamment besoin d’une quarantaine de substances différentes pour bien fonctionner : des vitamines, des minéraux, des oligoéléments, des acides aminés et des acides gras essentiels. Aussi, petit-déjeuner, déjeuner, dîner et éventuellement goûter sont des repères à conserver. Il est également important de boire de l’eau en quantité suffisante pour être toujours performant.
Pour finir, il faut dormir suffisamment. Le sommeil permet d’enregistrer et de fixer les connaissances acquises au cours de la journée. Huit heures par nuit serait l’idéal. Bref, il faut être au top de sa forme le jour J.
men-deco.org
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Le métier d’ingénieur Le titre d’ingénieur recouvre une grande variété de métiers et de domaines. Les ingénieurs occupent des positions d’expertise technique et/ou d’encadrement dans…
Le métier d’ingénieur
Le titre d’ingénieur recouvre une grande variété de métiers et de domaines. Les ingénieurs occupent des positions d’expertise technique et/ou d’encadrement dans les entreprises et peuvent avoir des fonctions variées dans la recherche et le développement, la conception de produits, la gestion de la production, la maintenance, l’assurance qualité, mais aussi le commercial, etc.
Les compétences de l’ingénieur sont en effet à l’interface entre la technique et la gestion. Ses connaissances lui permettent de mener à bien les missions qui lui sont confiées en tenant compte des contraintes économiques et matérielles. Il sera souvent chef d’équipe ou coordinateur, ses connaissances générales faisant de lui une sorte de médiateur entre les différents acteurs d’un projet. On trouve ainsi des ingénieurs dans tous les domaines d’activité, qu’ils soient liés de près ou de loin aux sciences et techniques, par exemple dans le conseil en informatique, la finance, l’audit, la production industrielle, etc.
Les formations d’ingénieur
La formation « classique » en école d’ingénieurs comporte un cycle préparatoire, qui précède la formation d’ingénieur à proprement parler. Ce premier cycle est généralement effectué dans une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE). MPSI, PCSI, PTSI sont les filières préparatoires les plus communément choisies dans cette optique. Mais il existe également des spécialités de biologie, préparant aux cursus en agronomie. À la suite de quoi les élèves seront mis à l’épreuve des concours, en vue d’entrer dans les écoles de leurs choix.
Un autre modèle en plein développement est celui des écoles dites « à prépa intégrée » en 5 ans, dont les 2 premières années constituent la partie préparatoire du cursus. La sélection s’effectue alors au moment de la classe de terminale, sur dossier et/ou concours. C’est le cas par exemple de l’Ecole Polytechnique de Thiès ou de l e cycle Ingenieur de l’ESMT (Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications.
Par ailleurs il est possible d’intégrer les études d’ingénieur après d’autres formations, comme des IUT ou même des licences (Mathématiques, Physique-Chimie,…), à condition bien sûr que la formation suivie précédemment soit en lien avec la formation d’ingénieur envisagée. Le titulaire d’un DUT de spécialité Mesures Physiques pourra par exemple envisager des études d’ingénieur en mécanique. Nombre d’écoles proposent aujourd’hui ces admissions dites « parallèles ». Néanmoins ces admissions restent minoritaires devant les élèves venant des classes préparatoires (intégrées ou non).
L’enseignement école d’ingénieurs se compose d’un socle de connaissances scientifiques (mathématiques, physique, chimie), complétées par les sciences humaines et sociales (gestion de projet, relations humaines,…). L’élève ingénieur doit en général choisir une spécialisation : mécanique, génie civil, informatique, chargé d’affaires… Ce ne sont que quelques exemples, car la liste est longue. Les spécialisations disponibles diffèrent en fonction des écoles et conditionnent le début de la carrière de l’ingénieur. Enfin, le cursus est ponctué par différents stages, de plus en plus longs, afin d’enrichir les connaissances du futur ingénieur par une expérience du terrain.
Par ailleurs, on distingue les écoles qui proposent une formation dite généraliste, c’est-à-dire qu’elle forme des ingénieurs plus polyvalents. C’est le cas de l’École Polytechnique par exemple. D’autres dispensent un enseignement plus spécialisé, plus approfondi sur un domaine précis. On pensera par exemple aux écoles de télécomm. ou aux écoles d’ingénieur en agronomie.
Qu’elles soient généralistes ou spécialisées, les écoles d’ingénieurs suivent toutes les mêmes grandes lignes concernant leur pédagogie. En effet, elles obéissent aux recommandations d’un organisme d’accréditation qui permet aux établissement de délivrer le diplôme d’ingénieur.
Enfin, il faut savoir que la formation d’ingénieur n’est pas coupée du monde de la recherche. Les écoles d’ingénieur sont toujours adossées à des laboratoires de recherche et/ou des pépinières d’entreprises innovantes. La solide formation scientifique dispensée permet la plupart du temps à ceux qui le souhaitent de poursuivre leur études par une thèse de doctorat.
source: sencampus.com
- Clics : 3178
Y a-t-il des pièges à éviter, pour le candidat, lorsqu’il remplit un formulaire de candidature sur le site de recrutement d’une entreprise ? Sur quelle base les logiciels de tri sélectionneront-ils votre dossier, afin qu’il arrive (enfin) sur le bureau d’un recruteur ? Nos conseils pour parler le langage du robot.
1 - Répondre à toutes les questions du formulaire de candidature
Zapper une ou deux questions, c’est prendre le risque de passer au travers de points clés de votre candidature. « Et surtout, cela revient à refuser les règles du jeu du recruteur. Un mauvais point pour le candidat », souligne Guillaume Verney-Caron, dirigeant du cabinet Personalis.
2 - Temps de réponse : ni trop, ni pas assez
« Pour éviter un engorgement des serveurs mais aussi pour apprécier la clarté et la réactivité des candidats, certaines entreprises accordent seulement 15 à 20 minutes au candidat pour remplir le formulaire en ligne », prévient Jean-Michel Rolland, directeur de la formation de l’ISEN Toulon. Passé ce délai, les réponses ne sont plus prises en considération. Donc, pour éviter d’être black-listé pour « lenteur », « faites un remplissage bidon afin de balayer tous les champs demandés, ne validez pas l’enregistrement final », ajoute-t-il. Et une fois prêt, lancez-vous pour de bon. Sachez aussi, sans le déclarer, certaines entreprises vont analyser le temps passé à remplir le formulaire. « C’est un moyen pour elles d’apprécier la clarté et l’esprit de synthèse du candidat », affirme notre expert. Donc attention au mouchard on line !
3 - Écrire les bons mots clés
Le pire serait de faire des copier-coller de votre CV sans mots clés apparents. Derrière les formulaires de candidature de recherche se cachent en fait des moteurs de recherche qui filtrent les candidats à partir de mots clés. Donc, si vous ne parlez pas le même langage que ce robot, vous aurez beau être le plus brillant des candidats, votre dossier passera à la trappe. « Pour parler la même langue, le candidat doit éplucher le vocabulaire de l’annonce, celui du site corporate de l’entreprise, notamment les termes employés dans l’onglet carrière. Et multipliez l’apparition de mots clés. Plus le robot trouvera le mot clé, plus la candidature sera prise en compte», souligne Jean-Michel Rolland.
4 – Développer ses réponses
Se contenter de quelques mots dans une case vierge susceptible de contenir des milliers de signes est un crime de lèse-majesté. « Ces cases type « commentaires personnels » sont au contraire l’occasion de préciser des infos ne rentrant pas dans les cases précédentes », explique Jean-Michel Rolland. Toutefois, évitez les phrases sans plus-value du genre « je suis très motivé et dynamique ». Ce n’est pas différenciant. Préférez le factuel : tel projet réalisé : le timing, le résultat et les compétences développées». Mais par pitié, pas de langage SMS. Les robots ne parlent pas le SMS.
5 – Attention à la cohérence d’ensemble
« À vouloir à tout prix être repéré par le recruteur, certains candidats se déclarent à la fois bon commercial, bon contrôleur de gestion, bon logisticien… C’est une erreur car certes le CV va remonter dans la plupart des requêtes du recruteur mais ce dernier ne sera pas dupe », insiste Guillaume Verny-Caron. Donc, on évite de vouloir tout viser et on se concentre sur une fonction par formulaire. De même, les réponses contradictoires sont à bannir.
Les 3 types de formulaires de candidature en ligne
Il existe 3 types de formulaires de candidature en ligne. D’abord, les plus simples. Ceux comportant quelques questions administratives et nécessitant l’envoi d’un CV en pièce jointe. « On trouve ensuite des formulaires liés à la recherche d’une expertise particulière avec de nombreuses cases à cocher en fonction des compétences recherchées par l’entreprise. Par exemple des langages informatiques », précise Jean-Michel Rolland, directeur de la formation à l’ISEN Toulon. Enfin, des formulaires avec des cases vierges à remplir. « Les entreprises facilitent le processus de remplissage de ces formulaires si elles manquent de candidats et ont du mal à recruter », ajoute-t-il. En ajoutant des champs à remplir, elles multiplient la possibilité de poser des filtres et donc d’affiner leur sélection parmi des milliers de candidats.
Sylvie Laidet © Cadremploi.fr
source: cadremploi.fr
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Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRC) a organisé du 19 au 20 novembre 2013 à Grand-Bassam, un atelier sur la restitution des travaux de l’étude d’élaboration de la carte universitaire.
Au cours de la cérémonie d’ouverture le mardi 19 novembre 2013, les représentants du MESRC ont présenté les objectifs de ladite carte. C’est Le Président du Comité Scientifique, Professeur Fulgence Nindjin qui a présenté les termes de références, à savoir le contexte, les objectifs, les résultats attendus, mais également la méthodologie. Il a rappelé que depuis février 2013, le MESRS a confié au Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD), la réalisation d’une étude intitulée «Elaboration de la Carte Universitaire». L’atelier du jour, est la restitution des résultats de cette étude.
De façon spécifique, il s’agira de : dresser l’état des lieux des établissements publics d’Enseignement Supérieur en Côte d’Ivoire, ainsi que ceux de la sous-région ouest-africaine et la région africaine en général, auxquels la Côte d’Ivoire est partie prenante ; préciser les formations dispensées et les diplômes délivrés dans ces établissements ; faire l’inventaire des effectifs d’étudiants dans chaque filière de formation ; faire l’inventaire des ressources humaines d’encadrement et de recherche ; présenter le Système d’Information Géographique et de Gestion (SIGG) de la carte universitaire ; présenter le document de stratégie de mise en œuvre de la décentralisation des universités (matrice d’actions détaillant les coûts et le chronogramme de réalisation, le dispositif de gestion, de suivi-évaluation).
Quant au professeur Abou Karamoko, représentant le ministre Bacongo Cissé, il a indiqué qu’aujourd’hui la configuration de notre système d’enseignement supérieur est assez complexe, avec des structures publiques et privées, sous les co-tutelles du MESRC et d’autres ministères techniques. Aujourd’hui, plus qu’hier, pour faire jouer efficacement au secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, son rôle de moteur du développement national, la poursuite de cette politique de promotion de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans le cadre de la réforme Licence-Master-Doctorat (LMD), nécessite la prise en compte de tous les aspect de la décentralisation, dans un plan d’actions concertées, assorti d’un programme de mise en œuvre des activités clairement identifiées.
Plus explicitement, il s’agit de créer un ensemble suffisant, cohérent, diversifié et complémentaire de structures et de formation adaptées aux besoins de développement du pays, dans un environnement mondial très concurrentiel et en perpétuelle évolution, tenant compte de toutes les contraintes économiques, environnementales, structurelles et institutionnelles.
Olivier Guédé
source: l'Intelligent d'Abidjan
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Pour McKinsey Global Institute (MGI), les pays africains peuvent être classés en quatre catégories selon leur capacité à tirer profit de la révolution numérique qui s'annonce sur le continent : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.
Dans le rapport "Les lions passent au numérique : le potentiel de transformation d'internet en Afrique", publié le 20 novembre 2013, l'institut de recherche McKinsey Global Institute (MGI) estime que la contribution d'internet au PIB annuel de l'Afrique pourrait passer de 18 milliards de dollars aujourd'hui à 300 milliards de dollars en 2025. Pourtant, tous les pays n'abordent pas la vague numérique de la même façon, ni avec le même enthousiasme.
MGI présente ainsi un "indice des piliers d'internet" (i5F), développé par le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey, qui permet de mesurer la capacité de chaque pays à tirer le meilleur de la révolution numérique.
Leaders et suiveurs
Il repose sur cinq piliers : la présence d'une stratégie nationale en faveur des TIC, le niveau d'infrastructures, un environnement sain pour les entreprises, le capital financier du pays et la présence d'une main d'oeuvre douée de bonnes compétences technologiques.
L'institut arrive ainsi à diviser l'échantillon de 14 pays africains sélectionnés (environ 90% du PIB de l'Afrique), en quatre catégories : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.
Le score i5F est un indicateur du niveau de "préparation" de chaque pays à l'expansion d'internet. Le score i5F moyen des pays sélectionnés par McKinsey est de 37%, contre 50% dans les pays émergents et 66% dans les pays développés.
Les scores du Kenya et du Sénégal s'expliquent, selon McKinsey Global Institute, par la stratégie nationale de ces deux pays. Le gouvernement du Sénégal, rappelle MGI, a ainsi été l'un des premiers sur le continent à investir dans la fibre optique et à promouvoir le déploiement des cybercafés. L'Institut met également en avant les ressources consacrées par le Kenya et le Sénégal à la numérisation de l'éducation, de l'administration publique et des soins de santé.
Le Maroc et l'Afrique du Sud, deux des plus importantes économies du continent, occupent le statut de "followers" en raison de la part relativement moins importante accordée par l'État à la stratégie NTIC. Le score de l'Angola, de l'Algérie et de l'Éthiopie reflète, selon MGI, des performances fort en dessous de leur potentiel.
Contribution d'internet au PIB
Aussi, MGI mesure la contribution d'internet au PIB ; cette dernière rassemble les activités liées à la création et à l'utilisation des réseaux et des services internet dans quatre grandes catégories : la consommation privée, les dépenses publiques, l'investissement privé et la balance commerciale. À l'échelle du continent, internet représente 1,1% du PIB, contre 1,9% dans les pays émergents et 3,7% dans les pays développés.
Le Sénégal et le Kenya prennent la tête du classement des pays où la contribution d'internet au PIB est la plus élevée (3,3% et 2,9% respectivement), suivis par le Maroc (2,3%), le Mozambique (1,6%) et l'Afrique du Sud. Le rang occupé par le Sénégal et le Kenya s'explique en partie par la faiblesse de leur PIB par rapport à des pays comme l'Afrique du Sud ou le Maroc.
Classement des pays africains selon la contribution d'internet au PIB (%)
Sénégal - 3,3%
Kenya - 2,9%
Maroc - 2,3%
Mozambique - 1,6%
Afrique du Sud - 1,4%
Côte d'Ivoire - 1,3%
Tanzanie -1,3%
Cameroun-1,2%
Ghana -1,1%
Égypte -1%
Algérie - 0,8%*
Nigeria - 0,8%*
Éthiopie - 0,6%
Angola - 0,5*
* En tenant compte du poids des exportations d'hydrocarbures, la contribution d'internet au PIB de l'Algérie, du Nigeria et de l'Angola atteint respectivement 1,1%, 1,5% et 1,2% du PIB.
source: jeuneafrique.com
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La candidature par mail a largement supplanté l’envoi d’un courrier. Qu’écrire dans votre mail de motivation, et comment le rédiger, pour convaincre un recruteur ? Le point sur la forme et le fond du mail de candidature qui accompagne l’envoi de votre CV en pièce jointe.
1 – Un mail de motivation doit être court
Les recruteurs reçoivent des centaines de candidatures par jour. Pour eux, un mail de motivation réussi est synthétique, clairement construit et illustre la valeur ajoutée du candidat. Dans l’idéal, il doit tenir sur 10 à 15 lignes maximum.
2 - La recommandation : l’atout du mail de candidature
Une recommandation par un collaborateur que connaît le recruteur, c’est l’un des atouts phares d’un mail de motivation. Si votre mail commence par « Sur les conseils de Mme Marin, directrice marketing de l'entreprise... », il est certain que le DRH lira avec attention votre candidature. Bien sûr, la personne qui vous recommande doit être au courant et doit savoir à quel poste vous postulez dans l’entreprise. Vous pouvez aussi lui préciser vos motivations, ainsi que les atouts principaux que vous pensez avoir pour le poste. À noter : le recruteur ne devrait pas manquer de contacter cette personne.
3 - L’accroche du mail de motivation
Exit les considérations générales. Dès les deux premières phrases, en accroche du mail de candidature, une indication sur l’adéquation entre le poste et votre profil (« expert depuis plus de 10 ans dans le secteur… », « récemment diplômé en marketing du luxe… »)… s’impose.
4 - Favoriser les mots clés dans votre mail de motivation
Sachant que votre mail sera lu aussi bien par des opérationnels que par un DRH généraliste voire par des collaborateurs d’autres services, utilisez des termes maîtrisés par tous : n’hésitez pas cependant à reprendre certains termes « forts » (correspondant aux besoins exprimés par le recruteur) présents dans l’offre d’emploi ou encore certains mots « corporate » mis en avant sur le site de l’entreprise. Si vous savez que votre formation est connue, voire reconnue du recruteur, n’hésitez pas à la préciser si vous êtes un candidat junior (cela peut valoir pour les réseaux professionnels, si vous êtes senior).
5 - Adapter le mail de candidature à l’entreprise
A chaque situation, son type de mail de motivation : selon que vous répondiez à une offre d’emploi, que vous soyez recommandé, que vous remplissiez un formulaire de candidature en ligne, que vous soyez débutant ou expérimenté ou en reconversion, que vous soyez commercial ou expert d’une fonction support… la teneur du mail sera différente.
6 - Mail de motivation : exposer vos réussites
Pas besoin de les mettre toutes, mais faire ressortir un ou deux succès phares récemment obtenus sera un argument apprécié par le recruteur. Bien sûr, il s’agit de démontrer vos dires, en chiffrant vos résultats par exemple, et en illustrant comment vous êtes parvenu à ces résultats. Le recruteur a besoin de se représenter vos façons de procéder.
7 - Solliciter un entretien
Le meilleur moyen d’obtenir une réponse du recruteur est… de lui poser des questions pertinentes. Dans le mail, vous pouvez ainsi l’interpeller par exemple sur les moyens mis en œuvre pour remplir les objectifs du poste. Et ajouter une conclusion du type : « je serais ravi de pouvoir échanger avec vous sur ces questions. Pouvons-nous nous rencontrer ?»
Sylvie Laidet © Cadremploi.fr
source: cadremploi.fr
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L'année scolaire 2013-2014 commence le lundi 16 septembre 2013 et prend fin le vendredi 18 juillet 2014 pour tous les établissements publics et privés de l'Enseignement préscolaire, primaire et secondaire général.
L'année scolaire 2013-2014 se subdivise en trois trimestres comme suit :
Premier Trimestre
Du lundi 16 septembre 2013 au vendredi 06 décembre 2013 soit onze semaines, ou 330 heures de cours.
Deuxième trimestre
Du lundi 09 décembre 2013 au vendredi 07 mars 2014 soit dix semaines ou 300 heures de cours.
Troisième trimestre
Du lundi 10 mars 2014 au vendredi 30 mai 2014 soit dix semaines ou 300 heures de cours.
Ainsi l'année scolaire 2013-2014 dure 31 semaines, soit 930 heures de cours.
Source: Ministère de l'Eduction Nationale