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Les nouveaux étudiants peuvent s'inscrire du 05 décembre 2013 au 31 janvier 2014
Les anciens étudiants pourront s'inscrire pendant la periode du jeudi 05 décembre 2013 au samedi 15 février 2014.
Les etudiants peuvent faire leur inscription sur le site: http://inscription.etudiants.edu.ci
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Le mois de juin est la période des examens scolaires : brevet, BAC, CAP, BEP… Que vous passiez un examen officiel ou non, il est temps de s’y préparer.
Très bientôt l’année scolaire prendra fin, plusieurs élèves et étudiants se préparent aux examens de fin d’année. Des examens que tous aimeraient réussir afin de bien conclure l’année. En tant que parents, vous devez accompagner votre enfant dans la planification de ses révisions, de faire le point et de discuter de ses doutes. Devenez son coach sans pour autant intervenir à bout de champ, il faut le laisser à son rythme et surtout lui faire confiance.
Découvrez les points importants pour faciliter ce passage obligatoire.
Etablir un planning
Il faut d’abord établir un planning. La journée doit être divisée en plusieurs périodes de travail. Il faut commencer tôt : les performances intellectuelles sont maximales. Proposez-lui de faire une pause pour prendre un encas et de continuer les révisions jusqu’à midi. Après le déjeuner, il est préférable de ne reprendre le travail qu’à partir de 15 ou 16 heures car avant, l’organisme est dans sa phase de paresse. C’est vers la fin de la journée qu’il peut retrouver toute son énergie. Le soir, il doit s’arrêter vers 22 heures.
Gérer le stress
Le stress peut devenir son pire ennemi. Pour réussir les examens, il y a des règles simples et efficaces à suivre. En premier lieu, il est conseillé de ne pas réviser au dernier moment. S’il a respecté son plan de travail, il pourra se détendre la veille de l’examen. Cela lui permettra de bien dormir sans ressasser inutilement les derniers éléments à retenir. Il peut en revanche relire une dernière fois le plan de ses cours. Attention, méfiez-vous des stimulants et autres produits dopants, ils permettent d’augmenter l’efficacité de travail en période de révision mais peuvent mener au surmenage le jour des examens.
Profiter des moments de détente
Lorsqu’il met en place son programme de révision, incitez-le à y marquer des moments de détente. En effet, c’est plus motivant de réviser tout en sachant qu’après on pourra se détendre. Faire du sport, écouter de la bonne musique, regarder un film intéressant… Ne croyez pas que ce sera du temps perdu. Au contraire, il rendra ce travail plus efficacement et diminuera le stress et les tensions qu’il accumule au fur et à mesure que la date butoire approche. L’objectif lors des révisions n’est pas de faire le plus d’heures possibles dans la journée mais de trouver des créneaux propices à la concentration.
Bien s’alimenter
En période de révisions et d’épreuves, il ne faut zapper aucun repas. Les besoins énergétiques sont importants et s’ils ne sont pas assurés, l’organisme est moins performant. Le cerveau a notamment besoin d’une quarantaine de substances différentes pour bien fonctionner : des vitamines, des minéraux, des oligoéléments, des acides aminés et des acides gras essentiels. Aussi, petit-déjeuner, déjeuner, dîner et éventuellement goûter sont des repères à conserver. Il est également important de boire de l’eau en quantité suffisante pour être toujours performant.
Pour finir, il faut dormir suffisamment. Le sommeil permet d’enregistrer et de fixer les connaissances acquises au cours de la journée. Huit heures par nuit serait l’idéal. Bref, il faut être au top de sa forme le jour J.
men-deco.org
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Le métier d’ingénieur Le titre d’ingénieur recouvre une grande variété de métiers et de domaines. Les ingénieurs occupent des positions d’expertise technique et/ou d’encadrement dans…
Le métier d’ingénieur
Le titre d’ingénieur recouvre une grande variété de métiers et de domaines. Les ingénieurs occupent des positions d’expertise technique et/ou d’encadrement dans les entreprises et peuvent avoir des fonctions variées dans la recherche et le développement, la conception de produits, la gestion de la production, la maintenance, l’assurance qualité, mais aussi le commercial, etc.
Les compétences de l’ingénieur sont en effet à l’interface entre la technique et la gestion. Ses connaissances lui permettent de mener à bien les missions qui lui sont confiées en tenant compte des contraintes économiques et matérielles. Il sera souvent chef d’équipe ou coordinateur, ses connaissances générales faisant de lui une sorte de médiateur entre les différents acteurs d’un projet. On trouve ainsi des ingénieurs dans tous les domaines d’activité, qu’ils soient liés de près ou de loin aux sciences et techniques, par exemple dans le conseil en informatique, la finance, l’audit, la production industrielle, etc.
Les formations d’ingénieur
La formation « classique » en école d’ingénieurs comporte un cycle préparatoire, qui précède la formation d’ingénieur à proprement parler. Ce premier cycle est généralement effectué dans une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE). MPSI, PCSI, PTSI sont les filières préparatoires les plus communément choisies dans cette optique. Mais il existe également des spécialités de biologie, préparant aux cursus en agronomie. À la suite de quoi les élèves seront mis à l’épreuve des concours, en vue d’entrer dans les écoles de leurs choix.
Un autre modèle en plein développement est celui des écoles dites « à prépa intégrée » en 5 ans, dont les 2 premières années constituent la partie préparatoire du cursus. La sélection s’effectue alors au moment de la classe de terminale, sur dossier et/ou concours. C’est le cas par exemple de l’Ecole Polytechnique de Thiès ou de l e cycle Ingenieur de l’ESMT (Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications.
Par ailleurs il est possible d’intégrer les études d’ingénieur après d’autres formations, comme des IUT ou même des licences (Mathématiques, Physique-Chimie,…), à condition bien sûr que la formation suivie précédemment soit en lien avec la formation d’ingénieur envisagée. Le titulaire d’un DUT de spécialité Mesures Physiques pourra par exemple envisager des études d’ingénieur en mécanique. Nombre d’écoles proposent aujourd’hui ces admissions dites « parallèles ». Néanmoins ces admissions restent minoritaires devant les élèves venant des classes préparatoires (intégrées ou non).
L’enseignement école d’ingénieurs se compose d’un socle de connaissances scientifiques (mathématiques, physique, chimie), complétées par les sciences humaines et sociales (gestion de projet, relations humaines,…). L’élève ingénieur doit en général choisir une spécialisation : mécanique, génie civil, informatique, chargé d’affaires… Ce ne sont que quelques exemples, car la liste est longue. Les spécialisations disponibles diffèrent en fonction des écoles et conditionnent le début de la carrière de l’ingénieur. Enfin, le cursus est ponctué par différents stages, de plus en plus longs, afin d’enrichir les connaissances du futur ingénieur par une expérience du terrain.
Par ailleurs, on distingue les écoles qui proposent une formation dite généraliste, c’est-à-dire qu’elle forme des ingénieurs plus polyvalents. C’est le cas de l’École Polytechnique par exemple. D’autres dispensent un enseignement plus spécialisé, plus approfondi sur un domaine précis. On pensera par exemple aux écoles de télécomm. ou aux écoles d’ingénieur en agronomie.
Qu’elles soient généralistes ou spécialisées, les écoles d’ingénieurs suivent toutes les mêmes grandes lignes concernant leur pédagogie. En effet, elles obéissent aux recommandations d’un organisme d’accréditation qui permet aux établissement de délivrer le diplôme d’ingénieur.
Enfin, il faut savoir que la formation d’ingénieur n’est pas coupée du monde de la recherche. Les écoles d’ingénieur sont toujours adossées à des laboratoires de recherche et/ou des pépinières d’entreprises innovantes. La solide formation scientifique dispensée permet la plupart du temps à ceux qui le souhaitent de poursuivre leur études par une thèse de doctorat.
source: sencampus.com
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Y a-t-il des pièges à éviter, pour le candidat, lorsqu’il remplit un formulaire de candidature sur le site de recrutement d’une entreprise ? Sur quelle base les logiciels de tri sélectionneront-ils votre dossier, afin qu’il arrive (enfin) sur le bureau d’un recruteur ? Nos conseils pour parler le langage du robot.
1 - Répondre à toutes les questions du formulaire de candidature
Zapper une ou deux questions, c’est prendre le risque de passer au travers de points clés de votre candidature. « Et surtout, cela revient à refuser les règles du jeu du recruteur. Un mauvais point pour le candidat », souligne Guillaume Verney-Caron, dirigeant du cabinet Personalis.
2 - Temps de réponse : ni trop, ni pas assez
« Pour éviter un engorgement des serveurs mais aussi pour apprécier la clarté et la réactivité des candidats, certaines entreprises accordent seulement 15 à 20 minutes au candidat pour remplir le formulaire en ligne », prévient Jean-Michel Rolland, directeur de la formation de l’ISEN Toulon. Passé ce délai, les réponses ne sont plus prises en considération. Donc, pour éviter d’être black-listé pour « lenteur », « faites un remplissage bidon afin de balayer tous les champs demandés, ne validez pas l’enregistrement final », ajoute-t-il. Et une fois prêt, lancez-vous pour de bon. Sachez aussi, sans le déclarer, certaines entreprises vont analyser le temps passé à remplir le formulaire. « C’est un moyen pour elles d’apprécier la clarté et l’esprit de synthèse du candidat », affirme notre expert. Donc attention au mouchard on line !
3 - Écrire les bons mots clés
Le pire serait de faire des copier-coller de votre CV sans mots clés apparents. Derrière les formulaires de candidature de recherche se cachent en fait des moteurs de recherche qui filtrent les candidats à partir de mots clés. Donc, si vous ne parlez pas le même langage que ce robot, vous aurez beau être le plus brillant des candidats, votre dossier passera à la trappe. « Pour parler la même langue, le candidat doit éplucher le vocabulaire de l’annonce, celui du site corporate de l’entreprise, notamment les termes employés dans l’onglet carrière. Et multipliez l’apparition de mots clés. Plus le robot trouvera le mot clé, plus la candidature sera prise en compte», souligne Jean-Michel Rolland.
4 – Développer ses réponses
Se contenter de quelques mots dans une case vierge susceptible de contenir des milliers de signes est un crime de lèse-majesté. « Ces cases type « commentaires personnels » sont au contraire l’occasion de préciser des infos ne rentrant pas dans les cases précédentes », explique Jean-Michel Rolland. Toutefois, évitez les phrases sans plus-value du genre « je suis très motivé et dynamique ». Ce n’est pas différenciant. Préférez le factuel : tel projet réalisé : le timing, le résultat et les compétences développées». Mais par pitié, pas de langage SMS. Les robots ne parlent pas le SMS.
5 – Attention à la cohérence d’ensemble
« À vouloir à tout prix être repéré par le recruteur, certains candidats se déclarent à la fois bon commercial, bon contrôleur de gestion, bon logisticien… C’est une erreur car certes le CV va remonter dans la plupart des requêtes du recruteur mais ce dernier ne sera pas dupe », insiste Guillaume Verny-Caron. Donc, on évite de vouloir tout viser et on se concentre sur une fonction par formulaire. De même, les réponses contradictoires sont à bannir.
Les 3 types de formulaires de candidature en ligne
Il existe 3 types de formulaires de candidature en ligne. D’abord, les plus simples. Ceux comportant quelques questions administratives et nécessitant l’envoi d’un CV en pièce jointe. « On trouve ensuite des formulaires liés à la recherche d’une expertise particulière avec de nombreuses cases à cocher en fonction des compétences recherchées par l’entreprise. Par exemple des langages informatiques », précise Jean-Michel Rolland, directeur de la formation à l’ISEN Toulon. Enfin, des formulaires avec des cases vierges à remplir. « Les entreprises facilitent le processus de remplissage de ces formulaires si elles manquent de candidats et ont du mal à recruter », ajoute-t-il. En ajoutant des champs à remplir, elles multiplient la possibilité de poser des filtres et donc d’affiner leur sélection parmi des milliers de candidats.
Sylvie Laidet © Cadremploi.fr
source: cadremploi.fr
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Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRC) a organisé du 19 au 20 novembre 2013 à Grand-Bassam, un atelier sur la restitution des travaux de l’étude d’élaboration de la carte universitaire.
Au cours de la cérémonie d’ouverture le mardi 19 novembre 2013, les représentants du MESRC ont présenté les objectifs de ladite carte. C’est Le Président du Comité Scientifique, Professeur Fulgence Nindjin qui a présenté les termes de références, à savoir le contexte, les objectifs, les résultats attendus, mais également la méthodologie. Il a rappelé que depuis février 2013, le MESRS a confié au Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD), la réalisation d’une étude intitulée «Elaboration de la Carte Universitaire». L’atelier du jour, est la restitution des résultats de cette étude.
De façon spécifique, il s’agira de : dresser l’état des lieux des établissements publics d’Enseignement Supérieur en Côte d’Ivoire, ainsi que ceux de la sous-région ouest-africaine et la région africaine en général, auxquels la Côte d’Ivoire est partie prenante ; préciser les formations dispensées et les diplômes délivrés dans ces établissements ; faire l’inventaire des effectifs d’étudiants dans chaque filière de formation ; faire l’inventaire des ressources humaines d’encadrement et de recherche ; présenter le Système d’Information Géographique et de Gestion (SIGG) de la carte universitaire ; présenter le document de stratégie de mise en œuvre de la décentralisation des universités (matrice d’actions détaillant les coûts et le chronogramme de réalisation, le dispositif de gestion, de suivi-évaluation).
Quant au professeur Abou Karamoko, représentant le ministre Bacongo Cissé, il a indiqué qu’aujourd’hui la configuration de notre système d’enseignement supérieur est assez complexe, avec des structures publiques et privées, sous les co-tutelles du MESRC et d’autres ministères techniques. Aujourd’hui, plus qu’hier, pour faire jouer efficacement au secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, son rôle de moteur du développement national, la poursuite de cette politique de promotion de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans le cadre de la réforme Licence-Master-Doctorat (LMD), nécessite la prise en compte de tous les aspect de la décentralisation, dans un plan d’actions concertées, assorti d’un programme de mise en œuvre des activités clairement identifiées.
Plus explicitement, il s’agit de créer un ensemble suffisant, cohérent, diversifié et complémentaire de structures et de formation adaptées aux besoins de développement du pays, dans un environnement mondial très concurrentiel et en perpétuelle évolution, tenant compte de toutes les contraintes économiques, environnementales, structurelles et institutionnelles.
Olivier Guédé
source: l'Intelligent d'Abidjan
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Pour McKinsey Global Institute (MGI), les pays africains peuvent être classés en quatre catégories selon leur capacité à tirer profit de la révolution numérique qui s'annonce sur le continent : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.
Dans le rapport "Les lions passent au numérique : le potentiel de transformation d'internet en Afrique", publié le 20 novembre 2013, l'institut de recherche McKinsey Global Institute (MGI) estime que la contribution d'internet au PIB annuel de l'Afrique pourrait passer de 18 milliards de dollars aujourd'hui à 300 milliards de dollars en 2025. Pourtant, tous les pays n'abordent pas la vague numérique de la même façon, ni avec le même enthousiasme.
MGI présente ainsi un "indice des piliers d'internet" (i5F), développé par le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey, qui permet de mesurer la capacité de chaque pays à tirer le meilleur de la révolution numérique.
Leaders et suiveurs
Il repose sur cinq piliers : la présence d'une stratégie nationale en faveur des TIC, le niveau d'infrastructures, un environnement sain pour les entreprises, le capital financier du pays et la présence d'une main d'oeuvre douée de bonnes compétences technologiques.
L'institut arrive ainsi à diviser l'échantillon de 14 pays africains sélectionnés (environ 90% du PIB de l'Afrique), en quatre catégories : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.
Le score i5F est un indicateur du niveau de "préparation" de chaque pays à l'expansion d'internet. Le score i5F moyen des pays sélectionnés par McKinsey est de 37%, contre 50% dans les pays émergents et 66% dans les pays développés.
Les scores du Kenya et du Sénégal s'expliquent, selon McKinsey Global Institute, par la stratégie nationale de ces deux pays. Le gouvernement du Sénégal, rappelle MGI, a ainsi été l'un des premiers sur le continent à investir dans la fibre optique et à promouvoir le déploiement des cybercafés. L'Institut met également en avant les ressources consacrées par le Kenya et le Sénégal à la numérisation de l'éducation, de l'administration publique et des soins de santé.
Le Maroc et l'Afrique du Sud, deux des plus importantes économies du continent, occupent le statut de "followers" en raison de la part relativement moins importante accordée par l'État à la stratégie NTIC. Le score de l'Angola, de l'Algérie et de l'Éthiopie reflète, selon MGI, des performances fort en dessous de leur potentiel.
Contribution d'internet au PIB
Aussi, MGI mesure la contribution d'internet au PIB ; cette dernière rassemble les activités liées à la création et à l'utilisation des réseaux et des services internet dans quatre grandes catégories : la consommation privée, les dépenses publiques, l'investissement privé et la balance commerciale. À l'échelle du continent, internet représente 1,1% du PIB, contre 1,9% dans les pays émergents et 3,7% dans les pays développés.
Le Sénégal et le Kenya prennent la tête du classement des pays où la contribution d'internet au PIB est la plus élevée (3,3% et 2,9% respectivement), suivis par le Maroc (2,3%), le Mozambique (1,6%) et l'Afrique du Sud. Le rang occupé par le Sénégal et le Kenya s'explique en partie par la faiblesse de leur PIB par rapport à des pays comme l'Afrique du Sud ou le Maroc.
Classement des pays africains selon la contribution d'internet au PIB (%)
Sénégal - 3,3%
Kenya - 2,9%
Maroc - 2,3%
Mozambique - 1,6%
Afrique du Sud - 1,4%
Côte d'Ivoire - 1,3%
Tanzanie -1,3%
Cameroun-1,2%
Ghana -1,1%
Égypte -1%
Algérie - 0,8%*
Nigeria - 0,8%*
Éthiopie - 0,6%
Angola - 0,5*
* En tenant compte du poids des exportations d'hydrocarbures, la contribution d'internet au PIB de l'Algérie, du Nigeria et de l'Angola atteint respectivement 1,1%, 1,5% et 1,2% du PIB.
source: jeuneafrique.com
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La candidature par mail a largement supplanté l’envoi d’un courrier. Qu’écrire dans votre mail de motivation, et comment le rédiger, pour convaincre un recruteur ? Le point sur la forme et le fond du mail de candidature qui accompagne l’envoi de votre CV en pièce jointe.
1 – Un mail de motivation doit être court
Les recruteurs reçoivent des centaines de candidatures par jour. Pour eux, un mail de motivation réussi est synthétique, clairement construit et illustre la valeur ajoutée du candidat. Dans l’idéal, il doit tenir sur 10 à 15 lignes maximum.
2 - La recommandation : l’atout du mail de candidature
Une recommandation par un collaborateur que connaît le recruteur, c’est l’un des atouts phares d’un mail de motivation. Si votre mail commence par « Sur les conseils de Mme Marin, directrice marketing de l'entreprise... », il est certain que le DRH lira avec attention votre candidature. Bien sûr, la personne qui vous recommande doit être au courant et doit savoir à quel poste vous postulez dans l’entreprise. Vous pouvez aussi lui préciser vos motivations, ainsi que les atouts principaux que vous pensez avoir pour le poste. À noter : le recruteur ne devrait pas manquer de contacter cette personne.
3 - L’accroche du mail de motivation
Exit les considérations générales. Dès les deux premières phrases, en accroche du mail de candidature, une indication sur l’adéquation entre le poste et votre profil (« expert depuis plus de 10 ans dans le secteur… », « récemment diplômé en marketing du luxe… »)… s’impose.
4 - Favoriser les mots clés dans votre mail de motivation
Sachant que votre mail sera lu aussi bien par des opérationnels que par un DRH généraliste voire par des collaborateurs d’autres services, utilisez des termes maîtrisés par tous : n’hésitez pas cependant à reprendre certains termes « forts » (correspondant aux besoins exprimés par le recruteur) présents dans l’offre d’emploi ou encore certains mots « corporate » mis en avant sur le site de l’entreprise. Si vous savez que votre formation est connue, voire reconnue du recruteur, n’hésitez pas à la préciser si vous êtes un candidat junior (cela peut valoir pour les réseaux professionnels, si vous êtes senior).
5 - Adapter le mail de candidature à l’entreprise
A chaque situation, son type de mail de motivation : selon que vous répondiez à une offre d’emploi, que vous soyez recommandé, que vous remplissiez un formulaire de candidature en ligne, que vous soyez débutant ou expérimenté ou en reconversion, que vous soyez commercial ou expert d’une fonction support… la teneur du mail sera différente.
6 - Mail de motivation : exposer vos réussites
Pas besoin de les mettre toutes, mais faire ressortir un ou deux succès phares récemment obtenus sera un argument apprécié par le recruteur. Bien sûr, il s’agit de démontrer vos dires, en chiffrant vos résultats par exemple, et en illustrant comment vous êtes parvenu à ces résultats. Le recruteur a besoin de se représenter vos façons de procéder.
7 - Solliciter un entretien
Le meilleur moyen d’obtenir une réponse du recruteur est… de lui poser des questions pertinentes. Dans le mail, vous pouvez ainsi l’interpeller par exemple sur les moyens mis en œuvre pour remplir les objectifs du poste. Et ajouter une conclusion du type : « je serais ravi de pouvoir échanger avec vous sur ces questions. Pouvons-nous nous rencontrer ?»
Sylvie Laidet © Cadremploi.fr
source: cadremploi.fr
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L'année scolaire 2013-2014 commence le lundi 16 septembre 2013 et prend fin le vendredi 18 juillet 2014 pour tous les établissements publics et privés de l'Enseignement préscolaire, primaire et secondaire général.
L'année scolaire 2013-2014 se subdivise en trois trimestres comme suit :
Premier Trimestre
Du lundi 16 septembre 2013 au vendredi 06 décembre 2013 soit onze semaines, ou 330 heures de cours.
Deuxième trimestre
Du lundi 09 décembre 2013 au vendredi 07 mars 2014 soit dix semaines ou 300 heures de cours.
Troisième trimestre
Du lundi 10 mars 2014 au vendredi 30 mai 2014 soit dix semaines ou 300 heures de cours.
Ainsi l'année scolaire 2013-2014 dure 31 semaines, soit 930 heures de cours.
Source: Ministère de l'Eduction Nationale
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Le calendrier des activités de l'année scolaire 2013-2014 dans les CAFOP se présente comme suit :
PREMIERE PERIODE
- Cours théoriques : du lundi 16 septembre 2013 au jeudi 14 novembre 2013
- 1er stage pratique: du lundi 18 novembre 2013 au vendredi 20 décembre 2013
- 1ère Evaluation commune : du mardi 14 au vendredi 17 janvier 2014
- Arrêt des notes : 17 Janvier 2014
DEUXIEME PERIODE
- Cours théoriques : du lundi 03 février 2014 au Vendredi 04 avril 2014
- 2eme stage pratique : du lundi 21 avril au vendredi 09 mai 2014
- 2eme Evaluation commune (Examen blanc) : du mardi 13 au vendredi 16 mai 2014
- Arrêt des notes : vendredi 16 mai 2014 Article 2
Source: Ministère de l'Eduction Nationale
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Les élèves des établissements primaires, secondaires et de l’enseignement technique et de la formation professionnelle de la ville de Katiola, qui se sont distingués au cours de l’année scolaire écoulée, ont été récompensés, Vendredi dernier, au Centre culturel de cette localité. Ainsi en a voulu le tout nouveau conseil municipal avec à sa tête le maire, Camara Thomas.
Les meilleurs élèves de chaque niveau, du CP1 à la terminale A, D et C, en passant par ceux de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, ont reçu chacun des kits scolaires.
Des prix spéciaux ont été également décernés à Fofana Sayé Mathieu et Dagnogo Adama qui ont obtenu respectivement, l’année dernière, 16,83 de moyenne au Bepc et 15,82 au Bac. Sur les raisons de cette distribution de prix aux élèves, le maire, parrain de la cérémonie, a expliqué que l’école ne peut que mériter toute son attention. D’autant plus que c’est en son sein que se forment les citoyens qui développeront demain, la Côte d’Ivoire. Aussi pense-t-il qu’il est bon de susciter la motivation et l’émulation parmi les apprenants.
Il convient de remarquer que la cérémonie a lieu en pleine rentrée scolaire. Moment où les parents doivent faire face à l’achat des fournitures scolaires. Ce qui faire dire au maire que cette distribution est vraiment la bienvenue. De plus, constate-t-il, la cérémonie se tient au moment où l’école est résolument tournée vers la recherche de l’excellence.
S’il y a des élèves excellents, c’est parce qu’il y a de bons encadreurs. D’où l’hommage que Camara Thomas a rendu aux chefs d’établissements scolaires, aux enseignants et aux éducateurs pour « l’œuvre irremplaçable qu’ils accomplissent avec brio et abnégation ».
Le préfet de la région du Hambol, Yul Omépieu Lambert, a laissé entendre qu’à Katiola, « le temps ne doit plus être aux bals de fin d’année à n’en plus finir ». Mais que cette ville doit être « le Quartier latin de la Côte d’Ivoire ».
source: Fraternité Matin
ADJE JEAN-ALEXIS
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Dans le cadre de son programme d'aide au développement de l'Afrique, le Gouvernement Australien offre des bourses d'études à l'Etat de Côte d'Ivoire, au titre de l'année 2014.
Ces bourses concernent les domaines prioritaires suivants :
- Agriculture
- Mines
- Gestion du secteur public
Les demandes de candidature ont commencé depuis le 1er septembre 2013 et se poursuivent jusqu'au 17 janvier 2014, délai de rigueur.
Les fonctionnaires désireux de faire acte de candidature sont invités à consulter le site http://australiaawardsafrica.org, sur lequel sont disponibles les informations détaillées comprenant les critères d'admissibilité, le processus de demande et le formulaire.
source: Ministère de la fonction publique
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CONCOURS DIRECT D'ENTREE AU CAFOP (Instituteur Ordinaire) IO
Condition de candidature
- Être de Nationalité Ivoirienne
- Être âgé(e) de 18 ans au moins et de 36 ans au plus au 31 décembre 2013
- Être titulaire du Baccalauréat de l’Enseignement Secondaire
Dossiers à fournir
1- FORMULAIRE A RENSEIGNER ET A IMPRIMER EN LIGNE
- POUR LE CONTROLE DU DIPLOME:
- Demande d’authentification administrative du BAC (à déposer à la Poste-CI et non à la DECO)
- POUR LA CONSTITUTION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
-1 Fiche d’inscription
-2 Fiches de table
-2 Convocations
-1 Engagement décennal
2- PIECES FOURNIES PAR LE CANDIDAT
-1 Original de l’extrait d’acte de naissance de moins d’un (1) an
-1 Original de l’extrait du casier judicaire de moins de six (6) mois
-1 Original du Certificat de Nationalité Ivoirienne
-1 Original de l’attestation médicale (DMOSS) d’aptitude à la fonction enseignante
-1 Quittance individuelle et originale des droits de concours
-1 Photocopie de la carte nationale d’identité ou attestation d’identité en cours de validité
-5 Photographies d’identité récentes de même tirage
-1 Enveloppe A4 préaffranchie modèle Poste-CI
Date limite
Du 16/10/2013 au 27/01/2014
Matierès:
-Français
-Culture Générale
-Mathématiques
Pour faire une demande d'authentification du BAC cliquer ici
Pour faire votre inscription en ligne cliquez ici
Anciens sujets et corrigés du CAFOP
Retrouvez les anciens sujets de CAFOP sur fomesoutra.com
Résultats du concours de CAFOP 2014 disponibles sur le site de la DECO
NB: Le site de la DECO est très lent en ce moment. Il va falloir patienter. Réessayez donc si vous n'arrivez pas a y accéder.
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Un précepteur, qui est-ce ?
Ok, visite guidée.
Suivez-moi à un carrefour, un panneau publicitaire, un feu rouge…et vous découvrirez aussitôt : « Cours à domicile… »
L’avez-vous maintenant deviné ? Un précepteur, c’est celui qu’on appelle notoirement un « répétiteur ».
Cela dit, la tendance aujourd’hui est d’avoir recours à ces messieurs qui vous aident à « répéter » vos leçons de maths, physiques, français et autres.
Si auparavant seuls quelques privilégiés pouvaient s’offrir le luxe des cours particuliers, de nos jours, en effet, la porte est ouverte à toutes les bourses. C’est qu’en la matière, ces dernières années l’offre s’est considérablement étoffée. Un bond dans le passé, voir les années 90, montre que les cours à domicile, ici au pays de Drogba, étaient surtout dispensés par des étudiants. Ces cours, pour la plupart d’entre eux, permettaient au moins de s’octroyer une carte de bus ou un peu d’argent de poche.
Quelques années après, même si ces « pionniers » ne démordent pas, il y a lieu de noter qu’ils ne sont plus seuls maîtres du terrain.
Effectivement, des enseignants, instituteurs, professeurs, et même des établissements scolaires, se sont aussi invités dans la danse.
Forte demande
Pour Jean-Jacques, étudiant en lettres modernes à l’université Félix Houphouët Boigny, et répétiteur à ses temps libres, même si la concurrence est devenue rude, chacun y gagne quand même son compte.
Si malgré la compétition, tout un chacun a sa place au soleil comme le fait remarquer Jean-Jacques, c’est que, quoi qu’il en soit, la demande de cours particuliers pèse toujours dans la balance. Ce fait peut s’expliquer par la baisse de niveau général des élèves depuis plusieurs années. Les effectifs pléthoriques ne permettant pas d’encadrer convenablement les apprenants, les parents d’élèves, par conséquent, désirent mieux former leur progéniture par le biais de répétiteurs. Et puis il y a que le marché du travail est devenu de plus en plus concurrentiel, plus exigent. Les portes ne s’ouvrent qu’à ceux qui vont loin dans les études.
L’avantage du « pédagogue »
En outre la demande de répétiteur « pédagogue » semble de plus en plus primer. Beaucoup, en effet, estiment qu’il faut confier l’enfant à un enseignant, voire son propre instituteur, ou professeur.
C’est l’avis de Dame Adjoua, commerçante de vivriers au grand marché d’Abobo :
« Ma fille qui passera l’entrée en sixième cette année, est suivie par son maître. Je trouve que c’est mieux ainsi car connaissant bien les faiblesses de son élève, il saura les corriger. ».
M. Digbeu, comptable dans une société de la place, abonde dans le même sens que Dame Adjoua :
« Mon fils qui est en classe de 4ème est encadré par son professeur de maths. Car lui a été formé à l’ENS (Ecole Normale Supérieure), et donc a la pédagogie appropriée pour dispenser son savoir.
Toutefois d’aucuns estiment que les tarifs des enseignants de métier sont un peu excessifs comme le faite observer M. Coulibaly, libraire à Adjamé :
« Avant on pouvait payer 15000 ou 20000 pour un collégien. Mais aujourd’hui, avec les enseignants les coûts ont pratiquement doublé ! ».
Pour établir la jonction entre tous les points de vue, certains établissements scolaires proposent des « cours de renfo. ». (Entendez par là des cours de renforcement). Là, les tarifs sont abordables, et le savoir est dispensé par des pédagogues.
Source de revenus substantiels
Les cours particuliers sont devenus pour beaucoup une source de revenus non négligeable. Effectivement, si pour certains cette activité permet de joindre les deux bouts, pour d’autres c’est tout bonnement un salaire mensuel en bonne et due forme qu’ils engrangent.
M. Achi, instituteur à Treichville, reconnaît que les cours à domicile lui permettent au moins d’assurer la popote du mois.
Quand à M. Dembélé, étudiant dans une grande école de la place, ses camarades le surnomment « Petit fonctionnaire ». En effet, ce dernier dispensant des cours particuliers à 4 élèves du premier cycle, à raison de 30.000F par apprenant.
De façon générale, les gains varient selon les niveaux d’étude des élèves et peuvent, dans certains cas, approcher la barre des 250.000FCFA par mois !
Le résultat est-il au rendez-vous ?
Si les précepteurs d’aujourd’hui ont de quoi se faire envier, leur apport est-il toujours évident ?
Les avis, ici, sont partagés.
Pour M. Digbeu, l’apport du répétiteur est net. En tout cas, lui a vu son fils primé l’année dernière. Ce dernier a eu 18/20 de moyenne en mathématiques et 16/20 en physiques, occupant chaque fois le rang de 1er dans ces deux matières.
M. Achi, lui est plus nuancé, car dit-il, que tout dépend de la volonté de l’élève à se mettre au travail. « Vous aurez beau avoir le meilleur enseignant de la planète, si vous-même ne faites aucun effort d’apprendre vos leçons ou de faires vos exercices, vous échouerez lamentablement. », tranche-t-il.
Pour Dame Adjoua, les répétiteurs sont de loin d’un apport positif dans la mesure où, selon elle, les enfants d’aujourd’hui sont très précoces et donc ont grandement besoin d’être suivis. « Ils intègrent la maternelle pratiquement à 3 ans, d’autres même à 2ans. Et donc s’ils ne doublent pas ils sont au bac entre 15 et 17 ans, au grand tard à 18ans. Comparée à notre époque, nous on était à cet âge en troisième ! ». Clarifie-t-elle.
Toutefois, selon M. Dembélé, l’incursion permanente de répétiteur dans la vie scolaire de l’enfant peut le conduire à une dépendance, voire même à la paresse. En effet, il peut arriver que certains élèves n’aient plus d’initiatives personnelles. Que ceux-ci, habitués à un maître de maison, ne travaillent que lorsque ce dernier les stimule.
« J’ai connu des cas où même pour apprendre la leçon d’histoire il fallait que je sois là d’abord. Ou qu’il fallait que je leur donne moi-même des exercices de maths sinon ils m’attendaient les bras croisés. ». Déplore le « Petit fonctionnaire ».
Excellence ok mais attention, Danger
Autre point focal, la santé des apprenants. A trop tirer sur la corde ne risque-t-elle pas de rompre ? Autrement dit, à mettre les enfants à rude épreuve par d’assidus cours à domicile ne les expose-t-on pas à un surmenage ?
« Il est clair que quand l’élève finit à 17h et qu’il doit encore rester à l’école pour des cours de renfo. à 18h, ça fait un peu trop. ».. Reconnaît M. Achi instituteur de son état.
En conclusion
Les parents d’élèves doivent comprendre qu’employer un répétiteur ne garantit pas forcément le succès. Si le dispensateur du savoir doit maîtriser son art, l’apprenant a quant à lui l’obligation d’y mettre du sien. Et sa santé doit primer. En outre, le phénomène ayant pris de l’ampleur, peut-être est-il temps, du côté du Ministère de l’Education Nationale, de regarder les choses de plus près. Pourquoi pas un nouveau corps d’enseignants ?
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Étudier en Inde permet de découvrir un pays en croissance constante depuis près de 20 ans, et qui rivalisera avec l’Europe et les États-Unis d’ici une dizaine d’années. Le système universitaire proche du système anglo-saxon propose des formations de plus en plus qualitatives, dans des universités de plus en plus modernes.
Étudier en Inde, c’est faire un pari sur l’avenir !
Les universités :
Il y a différentes catégories d’universités en Inde.
-Universités unitaires : elles ont un campus unique et proposent essentiellement un enseignement de deuxième et troisième cycle.
-Universités affiliantes : elles ont un campus central où sont situés les Départements qui dispense un enseignement de troisième cycle et se consacrent à la recherche. Elles ont également des « collèges » affiliés, répartis sur différents districts.
-Universités assimilées : statut conféré à une université qui a démontré son excellence dans un domaine de spécialisation.
-Institutions d’ « importance nationale » : crées par voie parlementaire, ils délivrent leur propre diplômes, privilège normalement réservé aux universités.
Parmi les meilleures universités du pays, on peut notamment citer l'université de Delhi (DU), l'université Jawaharlal Nerhu (JNU, située également à New Delhi), l'université de Mumbai, l'université Jadavpur à Kolkata, l'université Anna de Chennai et l'université de Pune, surnommée l'Oxford indien.
Vous trouverez des infos sur les différentes universités (en anglais) sur le site Ministry of Human Ressource Development.
Les collèges :
Les collèges proposent des enseignements de premier cycle à l’issu desquels est délivré le diplôme de Bachelor Degree. Seuls certains collèges proposent des formations de deuxième et troisième cycle. Ce sont toujours les Universités auxquelles ils sont affiliés qui déterminent les programmes des collèges, et qui délivrent les diplômes.
Il existe également quatre types de collèges :
-les collèges gouvernementaux : ils sont gérés par le gouvernement de leur Etat fédéré, et les professeurs ont le statut de fonctionnaire.
- les collèges privés : fondés par des associations ou des sociétés privées. La plupart manque de moyens et d’effectifs, ils reçoivent aujourd’hui une aide des Etats fédérés. Ils représentent 70% des collèges.
- les collèges universitaires, ou constituants, sont gérés directement par l’Université à laquelle ils sont affiliés.
- les collèges professionnels : proposent trois enseignements principales, médecine, ingénierie, et gestion d’entreprise. Comme ils ne reçoivent aucune aide de l’Etat, les études coûtent généralement très cher.
S’inscrire aux universités en Inde, comment faire ?
Il existe deux solutions pour les étudiants souhaitant s’inscrire aux universités en Inde.
Methode 1
Postuler en envoyant son dossier, directement via le site internet de l’université quand cela est possible ou bien par courrier.
Le dossier d’inscription contient dans la majorité des cas :
- Vos relevés de notes de la première et terminale ainsi que ceux du baccalauréat pour ceux s’inscrivant en première année.
- Les notes des diplômes de l’enseignement supérieur préparés ultérieurement ainsi que les résultats du baccalauréat pour ceux s’inscrivant en 2ième année ou plus.
- Les frais de dossier ou d’inscription si il y en a. Ils tournent en moyenne aux alentours de 30 à 50 dollars par université.
- Une lettre de motivation expliquant votre choix de formation, d’université et pourquoi vous venez étudier en Inde.
- Un CV décrivant vos formations ainsi que votre parcours professionnel.
- L’ensemble du dossier devra bien entendu être rédigé en anglais.
- Il vous sera aussi demandé de passer un test de langue afin de prouver que vous disposez d’un niveau suffisant en anglais pour pouvoir assister aux cours.